Peut-on prouver que Dieu a choisi Israël et le Messie Yéshoua (Jésus) ?

« Car l’Éternel ne rejette point son peuple, Il n’abandonne pas son héritage. » – Psaume 94:14
« Ce n’est pas vous qui m’avez choisi ; mais moi, je vous ai choisis… » – Jean 15:16

Voici une question brûlante que beaucoup redoutent de poser, mais qu’aucun cœur sincère ne peut ignorer : le peuple juif et le Messie Yéshoua sont-ils véritablement l’objet d’un choix divin ? Est-ce là une tradition humaine, ou une réalité confirmée par la Torah, les prophètes, l’histoire et les faits visibles sous nos yeux ?

Cette étude condensée — issue d’un enseignement approfondi diffusé sur la plateforme LeRetourAuxRacines.com — propose un parcours biblique et prophétique, fondé sur les Écritures, l’histoire et la réalité actuelle d’Israël.

Vous y découvrirez des signes tangibles, des parallèles puissants, des prophéties accomplies, et un appel personnel, pressant, à revenir au Dieu vivant.

Israël et Yéshoua : un double choix éternel du Dieu d’Abraham

Le bruit des nations monte, les accusations fusent et les discours antisémites ou antisionistes modernes se multiplient. Certains crient que Dieu aurait rejeté Israël, que le Messie Yéshoua ne serait qu’un prophète parmi d’autres ou pire encore : un faux messie… Mais que dit la Parole Prophétique ? Que dit la Torah, que disent les prophètes, que crient les faits ?

L’Écriture proclame haut et fort que le choix d’Israël est irrévocable (Romains 11:29), et que Yéshoua est le Messie annoncé, crucifié, ressuscité et glorifié. Ce ne sont pas les passions humaines, ni les opinions des foules, qui déterminent la vérité divine. C’est Dieu qui choisit, c’est Dieu qui établit, et c’est Dieu qui confirme.

« Ce n’est pas par leur justice que je les ai choisis… c’est à cause de mon amour et de la fidélité à l’alliance. » – Deutéronome 7:7-8 (paraphrasé)

Et si l’on doute encore, que l’on considère le miracle vivant d’Israël moderne, ou encore la diffusion universelle du message de Yéshoua, jusque dans les coins les plus reculés du monde. Il n’est pas de continent où son Nom n’ait retenti. Il n’est pas de peuple que son message n’ait touché.

Korach : un avertissement contre le rejet de l’élu de Dieu

À travers la paracha Korach (Nombres 16:1 à 18 fin), les sages nous ont transmis un miroir spirituel bouleversant : l’histoire d’un homme qui, par orgueil et ambition, osa contester les élus de Dieu — Moïse et Aaron.

Le sol même s’ouvrit pour engloutir celui qui s’était élevé. Pourquoi ? Parce qu’il avait méprisé le choix divin.

Korach, c’est l’archétype de l’insoumis spirituel, de celui qui, par jalousie, refuse de se soumettre à ce que Dieu établit. Ce récit, terrible et juste, est un avertissement éternel : rejeter l’élu de Dieu, c’est marcher vers sa propre perte.

Le bâton d’Aaron : un signe prophétique du choix irrévocable de Dieu

Et que dire de ce miracle silencieux mais éclatant ? Le bâton d’Aaron, sec, sans vie, fleurit soudainement, portant en un instant bourgeons, fleurs et fruits.

Ce n’est pas là une image poétique, c’est un sceau céleste : quand Dieu choisit un homme, Il fait fleurir l’impossible entre ses mains. Cette image, pleine de douceur et de puissance, préfigure aussi le Messie Yéshoua, dont le ministère a produit en trois ans une moisson que deux mille ans n’ont pas encore finie de récolter.

« Il poussera comme un rejeton, et comme une racine sortant d’une terre aride… » – Ésaïe 53:2

Israël moderne : le bâton d’Aaron fleurit à nouveau

« Il rebâtira les ruines anciennes, il relèvera les décombres du passé… » – Ésaïe 58:12

Depuis 1948, le peuple juif est revenu sur sa terre, et ce qui fut un désert aride s’est transformé, sous nos yeux, en un jardin florissant de vie, d’innovation et de bénédiction. Israël, cette terre que bien des nations disaient “morte”, est aujourd’hui debout, vibrante, féconde, prophétique.

Les champs portent des fruits en abondance. Les innovations technologiques fusent. La culture, la médecine, l’agriculture, la défense — tout témoigne d’une faveur surnaturelle.

« Le désert et le pays aride se réjouiront ; la steppe exultera et fleurira. » – Ésaïe 35:1

Ce n’est pas là une coïncidence de l’histoire. C’est le bâton qui fleurit à nouveau. C’est la main de Dieu qui se manifeste au milieu des nations, comme Il l’a promis par les prophètes.

Et ceux qui ont des yeux pour voir, voient.

Le zèle des Lévites, reflet du zèle des disciples du Messie

Dans le récit de Korach, le zèle des Lévites est mis en lumière : eux, fidèles serviteurs, défendent la sainteté, veillent à la pureté, et se tiennent là où Dieu les a placés.

De même, les disciples véritables de Yéshoua, le Messie d’Israël, sont appelés à marcher dans cette même flamme intérieure : une obéissance fervente, un engagement profond, une passion sainte pour la vérité et la sanctification.

« Le zèle de ta maison me dévore… » – Jean 2:17

Le bâton qui fleurit symbolise aussi ce zèle spirituel : la vie qui jaillit d’un bois mort, l’amour qui transforme un cœur de pierre en cœur brûlant.

Yéshoua : un sacerdoce vivant et universel

Comme Aaron fut choisi, ainsi Yéshoua a été oint. Mais à la différence du prêtre terrestre, le Messie est prêtre pour l’éternité, selon l’ordre de Melchisédek. Et comme le bâton d’Aaron, son œuvre fleurit à travers les siècles.

En trois années de ministère, Yéshoua a posé les fondations d’une révolution spirituelle planétaire. Sa parole a traversé les continents, et le calendrier même de notre civilisation est bâti sur sa venue.

« Il prospérera entre ses mains. » – Ésaïe 53:10

Sa vie, sa mort, sa résurrection — tout en Lui parle d’élection divine. Et les millions de vies transformées depuis deux millénaires sont autant de bourgeons sur le bâton du Messie.

Contre la division : un appel urgent à l’unité et à l’humilité

Le récit de Korach ne parle pas seulement d’un homme. Il parle de tous ceux qui sèment la division, qui contestent, qui médisent, qui refusent l’ordre de Dieu au nom d’un zèle mal placé.

Aujourd’hui encore, les disputes religieuses, les querelles théologiques, les jugements sans sagesse abîment le témoignage du peuple de Dieu. Ce message de la Torah résonne avec urgence : soyons des artisans de paix. Honorons le choix divin. Gardons le silence là où nous n’avons pas été appelés à parler.

« Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu. » – Matthieu 5:9

Israël béni sous nos yeux : preuves tangibles d’un accomplissement prophétique

« Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront… » – Genèse 12:3

On ne peut parler d’Israël aujourd’hui sans reconnaître l’évidence : malgré les guerres, les attaques, les pressions diplomatiques, cette petite nation se dresse comme un géant spirituel et technologique parmi les nations.

Le sol produit en abondance. Les inventions bénissent le monde. Les fruits de la terre d’Israël abondent — et avec eux, les signes visibles de la faveur divine. Que ce soit en agriculture, en cybersécurité, en médecine ou en innovation, le monde entier bénéficie de la bénédiction promise à Abraham.

Cette prospérité dans un contexte hostile n’est pas naturelle — elle est surnaturelle. Elle est le cachet de l’Éternel sur Son peuple et Sa terre.

L’Évangile : fruit moral de la Torah et bénédiction pour les nations

« La loi de l’Éternel est parfaite, elle restaure l’âme… » – Psaume 19:8

On l’oublie trop souvent, mais les plus nobles valeurs morales qui façonnent encore nos sociétés — la charité, la miséricorde, l’amour du prochain, la dignité humaine — ont toutes pour racine la Torah, et ont été enseignées au monde entier par les disciples du Messie Yéshoua.

C’est l’Évangile qui a transmis au monde une éthique nouvelle, fondée sur la loi divine, révélée dans un amour incarné. Et cette influence, même si elle a été parfois trahie par des institutions, continue d’inspirer les plus grandes œuvres humanitaires.

Sans cette lumière, le monde serait bien plus ténébreux qu’il ne l’est.

Trois années d’impact éternel : Yéshoua, le Messie annoncé

Il ne prêcha que trois ans. Il ne possédait ni palais, ni armée, ni titre académique. Et pourtant, il divisa l’histoire en deux.

Le monde entier compte les années depuis sa venue. Son Nom est traduit dans toutes les langues. Sa parole est méditée sur tous les continents. Les malades sont guéris en Son Nom, les cœurs transformés, les cieux ouverts.

Cela seul devrait suffire à réveiller l’homme honnête de son sommeil spirituel.

« Il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme leurs scribes. » – Matthieu 7:29

Le bâton fleuri du Messie : quand une vie se transforme

Mais il est un miracle plus puissant encore que les signes visibles : c’est la transformation d’un cœur de pierre en cœur de chair.

L’auteur de cette étude en est témoin. Anciennement lié par la débauche et l’aveuglement, c’est une parole du prophète Jérémie qui transperça son âme, et le ramena vers la lumière.

« Tu m’as séduit, Éternel, et je me suis laissé séduire… » – Jérémie 20:7

C’est cela, le bâton fleuri : une âme desséchée qui porte fruit. Et chaque croyant sincère en est l’illustration vivante.

Israël et le Messie : une rencontre prophétique en cours

« Fils d’homme, prends un bois, et écris dessus : Pour Juda… prends un autre bois, et écris dessus : Pour Joseph… Rapproche-les l’un de l’autre… » – Ézéchiel 37:16-17

Depuis 1948, deux réveils se produisent en parallèle : Israël revient à la vie, les juifs renouent avec la Torah comme jamais, et les croyants des nations redécouvrent les racines juives de leur foi. Ce phénomène n’est pas une coïncidence historique et géopolitique. C’est une rencontre prophétique.

Le bois de Juda et le bois de Joseph — le peuple juif et les disciples du Messie — sont en train d’être rassemblés par la main invisible de l’Éternel. Le Messie est au cœur de cette convergence.

Et le fruit de cette union sera la paix, la vérité, la réconciliation et la fin d’Amalek.

Une croissance imparfaite, mais authentique

Il serait malhonnête de nier les fautes passées : croisades, inquisitions, persécutions, divisions, haine gratuite, idolâtrie… tant du côté chrétien que juif. Mais n’est-ce pas là la marque d’une humanité encore en croissance ?

Car la sanctification est un chemin semé de faiblesses, mais aussi de repentance. Et Dieu, dans Sa grâce et son immense patience, ne méprise pas un cœur contrit.

« Le juste tombe sept fois, et se relève… » – Proverbes 24:16

Un appel pressant à la repentance et au salut en Yéshoua

Le message est clair : le salut est un don. Et bien qu’elles soient profondément respectées, ce n’est ni par les œuvres, ni par les traditions, mais par la foi en Celui qui a porté nos fautes sur le bois.

Et si le jugement vient — car il viendra — ceux qui auront embrassé la grâce vivront. Mais ceux qui persistent dans le rejet de Dieu, qui contestent le possesseur du « bâton fleuri », goûteront à une séparation éternelle.

« Choisis donc la vie, afin que tu vives… » – Deutéronome 30:19

L’espoir messianique : une attente universelle qui s’achève

Juifs, chrétiens, même musulmans… tous attendent le retour du Messie. Et il revient bientôt. L’Écriture dit que lorsqu’Il paraîtra, les regards d’Israël se tourneront vers Celui qu’ils ont percé (Zacharie 12:10). Ce jour sera à la fois redoutable et glorieux.

« Voici, il vient avec les nuées, et tout œil le verra… » – Apocalypse 1:7

Vers un monde nouveau : la paix du Messie approche

Oui, ce monde est encore brisé. Oui, les ténèbres semblent parfois dominer. Mais tout s’aligne, tout se prépare, tout converge vers un Royaume de paix, de justice et de vérité.

Le temps est venu de choisir son camp. Celui du mépris ou celui de la grâce. Celui de la division ou celui de la restauration.

« Heureux ceux qui auront part à la première résurrection… » – Apocalypse 20:6

📢 Appel final :

Israël, la Torah, le Messie Yéshoua : ce n’est pas un récit ancien, c’est l’histoire vivante de l’humanité, et le message du salut pour chaque âme. Ne tardez pas. Lisez, méditez, partagez.